Des Maquettes de véhicules hippomobiles anciens

C'est un succès, je viens de terminer la fabrication du guide et de ses butée. J'ai du ensuite régler la profondeur de passe et après quelques essais de réglage, usiner enfin plusieurs rayons de roues identiques sans anicroches. Il est un peu tard pour faire des photos (puisque l'on m'appelle "à table" depuis un petit moment), mais demain sans faute je vous montre ça...

Il ne me restera plus qu'à fabriquer le gabarit de montage des roues et.... je pourrai enfin me mettre à la fabrication des roues de ma première maquette.

Mais ça c'est une autre histoire...

Voici donc le résultat de mon travail d'hier. Pour commencer, j'ai fixé un montage sur le guide parallèle, avec 2 tétons de positionnement et 2 vis de fixations et leurs écrous papillons.



Vu de l'autre côté pour montrer les lamages pour noyer les têtes de vis (M8).



Le disque porte outil qui remplace la lame de scie est fixé sur l'arbre par l'écrou de celle-ci. Il a juste fallu élargir de 2 mm l'échancrure afin de lui dégager le passage, ce qui ne nuira en rien à l'usage scie circulaire de table ultérieur.



Les butées avant et arrière ont été positionnées lors d'essais et tâtonnement successifs. En effet l'usinage complet se faisant par retournement de la pièce, il fallait régler les butées pour obtenir une moulure arrêtée identique sur chaque face.




J'ai aussi décidé de visser chaque pièce à usiner dans le dispositif de maintien (je tiens particulièrement à mes doigts, car il parait qu'ils ne repoussent pas). En partant de pièces de bois non rabotées débitées à la scie à ruban, voilà le résultat obtenu...



Le résultat me convient, même s'il faudra peut être effectuer un petit ponçage pour fignoler.

La suite à la prochaine étape....

Ce serait immérité tant il y a de personnes qui m'ont précédé et dont je m'inspire...

Bonjour,

Aujourd’hui, je voulais d’abord valider la réussite d’hier en usinant de quoi équiper 2 roues soit 12 pièces, puisque je les divise ensuite par 2.
Comme je l’avais annoncé, la pièce à  usiner est maintenant vissée dans le gabarit ce qui  permet un usinage parfait.




Ce maintien assuré m’a permis d’usiner correctement les 11 premières pièces qu’il reste à ébavurer avant de les utiliser. Ces bavures fines comme du papier sont très facile à éliminer.




Malheureusement, le vissage/dévissage répété avec 2 vis de 3 x 16 mm ne pouvait pas durer très longtemps aussi voici ce qui  est arrivé à la dernière pièce lorsque l’une des fixations s’est desserrée.



Je vais donc modifier cette fixation en utilisant 2 écrous à frapper de 3 et 2 vis M3 à tête fraisée.



Malheureusement celles dont je dispose ne sont pas assez longue et pour l’instant j’attends la fonte des glaces pour me déplacer sans certitude de trouver plus long dans mon désert économique, culturel et social…



Malgré tout, je ne pouvais pas abandonner sans avoir essayé un usinage sur du Hêtre plus dur que mon acajou car je me demandais comment l’usinage se déroulerait. Si l’usinage de la première face s’est bien déroulé, voilà  ce qui  arrive lorsque l’on insiste bêtement avec des fixations qui lâchent. Heureusement, l’outil n’a rien.




En dépit de cet incident, j’ai constaté que la moulure était plus nette avec ce bois dur que sur du bois trop tendre, le Hêtre est donc adopté à l’unanimité avec moi-même.




J’aurai bien commencé le gabarit suivant, mais la température proche de zéro de l’atelier a fini par avoir raison de ma bonne volonté.

A la prochaine…

Hier... J'ai oublié de vous envoyer ceci...  

La température semble se stabiliser bien en dessous de 10°, mais mon envie de progresser est bien plus forte que celle de rester au coin du feu, alors j’ai entrepris de réaliser les différents gabarits nécessaire au montage de la roue que je n’avais pas encore attaqué.

Le premier travail a consisté à fabriquer le socle qui permettra de mettre au bon diamètre les rayons de la roue une fois ceux-ci fixés sur le moyeu.
J’ai récupéré une glissière qui passe pile dans la rainure de la table du disque de ponçage.



Et la grosse vis permet de bloquer cette table en place.




Cette table est munie de glissières de chaque côté ce qui permet à une deuxième table d’avancer et de reculer et donc de poncer les rayons de roues de différents diamètre car suivant les plans dont je dispose, à échelle 1 :10 les roue du triqueballe font 220 mm de diam, celles du tombereau 175, celle de la charrette Irlandaise 125, etc. une fois réglée à la bonne distance, cette tablette mobile sera bloquée en position par une vis papillon.



Il reste donc à positionner et fixer l’axe sur lequel le gabarit de montage des rayons sur le moyeu sera mis en place  afin d’effectuer la mise au rond avant de fixer la jante…
Pour l’instant ce gabarit risque de tourner carré, car sa mise en forme sera pour la prochaine fois.




Aujourd'hui

Comme vous le voyez, il fallait un axe pour le monter sur la planchette réglable du dispositif d’hier. Un tube plein du bon diamètre en laiton, la filière correspondant pour fileter les deux extrémités, un peu d’huile de coupe et de coude, ce fut l’affaire d’un instant.




J’ai ensuite cassé les angles du premier  (futur) disque. Je l’ai positionné sur le montage d’hier et poncé au rond.






Scier des cales de soutien à un angle de 4° fut un jeu d’enfant.




Maintenant, il reste à poncer ces cales de soutien des rayons, puis à les coller en place juste dans l’axe de chaque rayon. Des joues de chaque côté assureront le maintien latéral. Des petits coins de bois pourront combler les jeux latéraux éventuels ou, positionnés sous les rayons à coller, permettre un calage à un degré plus fort que 4°. Pour diminuer l’angle de calage, il suffira d’ajouter des rondelles calibrées sous le moyeu afin de soulever celui-ci.

Une fois encollé, l’ensemble sera contraint par des élastiques durant le temps de prise…

Après cela il me reste à tourner un moyeu et le percer à 4° d’inclinaison. Percer en bout chaque rayon avant d’en couper chaque extrémité à 4° et tenter de monter les rayons sur le moyeu afin de valider le résultat de ce travail..

Mais ça, c’est une autre histoire et même si le chemin vous paraît long, je vous remercie de m’accompagner…

C’est avec 6° dans l’atelier que j’ai entrepris de tourner les 2 moyeux de mes futures roues.
Vous pouvez constater que malgré quelques frissons, ma main n’a pas tant tremblé que ça. Il reste un petit peu de ponçage a réaliser pour parfaire l’état de surface, toutefois ils sont suffisamment similaires et c’est l’essentiel.




Il ne reste plus qu’à les mettre dans le gabarit de perçage et le tour sera joué… mais pour passer à  l'étape du montage, je dois d’abord terminer le disque de montage. heureusement, comme il y a beaucoup de collage, ce sera un travail d’intérieur bien au chaud…

A bientôt

Hop là ticket siouplait

Aujourd'hui, courses de Noël donc il n'y aura pas de gros reportage.

La prochaine fois, je commencerai d'abord par usiner un nombre assez conséquent de rayons. De quoi pourvoir à la fabrication des roues de plusieurs chariots que j'envisage de construire après ce premier.

Je vous donne 2 indices, devinez quels seront les 2 suivants?






Une fois ces rayons fabriqués je pourrai enfin démonter le disque porteur d'outil et remettre une lame sur ma petite scie circulaire. Car j'ai besoin de celle-ci pour poursuivre l'usinage des rayons. En effet ceux-ci doivent maintenant être coupés à leur extrémité à 4°. Puis j'usinerai un tenon à 4° sur chacune des extrémités. Ce tenon sera retaillé afin de s'introduire dans l'une des 12 mortaises inclinées de 4° creusées dans le moyeu...

Mais ça c'est une autre histoire que j'espère pouvoir vous raconter avant les fêtes de fin d'année, à la condition que les préparatifs m'en laisse le temps..

En ce moment, j’ébauche des « rais doubles »…

Cependant, cela n’a pas été sans quelques menus travaux préparatoires. Pour commencer, il fallait modifier la fixation de la pièce à usiner en remplaçant les 2 vis à bois de 3x16 par des vis M3 plus propice aux nombreux montages/démontages que l’usage entraine. Ces vis M3 viennent se visser sur des écrous à frapper inséré sur la semelle comme vous pouvez le voir sur la photo suivante.



J’ai ensuite débité des baguettes de Hêtre que j’ai raboté à dimension selon le véhicule auquel elles étaient destinées. De la même façon, afin d’assurer une réelle régularité de longueur de pièce et de positionnement des perçages, rien ne vaut un petit gabarit maison



Le perçage des extrémités des rayons s’effectue maintenant au diam de 3,5 après une mauvaise expérience à 3mm qui par son absence de jeu à fini par arque bouter détériorant au passage un des écrous à frapper (il m’arrive d’être bourrin parfois). Cela m’a donné le délice d’effectuer son remplacement. Mais qu’importe le nombre de fois, démonter, remonter c’est toujours travailler…


J’ai enfin pu commencer l’ébauche des rais les plus fines. Voici les 12 ébauches doubles et quelques spare destinées à mon South Irish.




Bien entendu, il reste à effectuer quelques finitions de surface, mais l’essentiel de la forme est identique pour chaque pièce. Pour la suite, j’ébaucherai les 24 rais doubles d’un chariot de débardage à deux essieux




Enfin après ce travail quelque peu répétitif, je reprendrai le réglage de la hauteur de l’outil pour d’autres rais plus épaisses et plus larges.

Mais ça ce sera une autre histoire....

Il est vachement beau le canasson de la seconde video !
Le prochain chariot, c'est une sorte de trinqueballe ?

Celui que j'ai entrepris de construire il a plus d'un an est un mini tombereau basculant Irlandais. le prochain sera certainement un gros trinqueballe avec de larges roues de 2,20 (au 1:10ème) et le suivant un chariot de débardage avec 2 essieux séparables pour s'adapter à la longueur des troncs à transporter.
Ensuite je réaliserai des véhicules de travail tant à la campagne que dans les villes (y compris une petite charrette à bras de livraison de pain et une autre d'artisan...

Ce matin, il fait -7° dehors et un petit 3° positif dans l'atelier.... je vais rester au chaud, quittez vos fauteuil d'orchestre et faîtes en autant.

A bientôt.

Ce matin, avec 2,3° dans l’atelier il faisait trop frisquet pour s’y aventurer trop longtemps, aussi ai-je décidé de modifier mes plans. Fini le long travail répétitif d’usiner les rais des chariots futurs, en tremblant de froid et la goutte au nez. Après tout, avec le chariot qui est en cours et de quoi faire le prochain, le stock est suffisant pour atteindre des jours meilleurs.

C’est pourquoi, ce matin j’ai ouvert la porte du petit atelier maquettisme situé dans une ancienne chambre. Même si cette pièce reste juste hors gel pendant la nuit, il suffit d’y démarrer un peu de chauffage au lever pour s’y trouver à l’aise après le petit-déjeuner.

Le travail de ce matin consistait à mortaiser les moyeux pour y loger le tenon de chacun des 12 rayons dont sera constituée chaque roue. Le gabarit présenté il y a déjà quelque temps est serré dans l’étau d’une petite table croisée. Le disque pour 12 rais est en place (rappel j’ai aussi un disque pour 14 rais).




Il ne restait plus qu’à incliner la fraiseuse et régler la butée de profondeur pour débuter.
Au départ, le principal problème est de commencer la première mortaise pile dans l’axe vertical.




Ensuite, ça roule tout seul…





Un léger ponçage et ce sera terminé…

La prochaine fois, je devrai usiner les tenons à l’extrémité des rais double, mais ce sera pour la prochaine fois…

C'est vraiment du travail d'orfèvre, je suis admiratif et envieux. Merci de nous le faire partager.
Amicalement
Bertrand.

Merci de ton commentaire.
Je suis loin d'être un orfèvre et d'autres que moi font nettement mieux. parmi ceux-ci il y a un véritable maître avec qui  je communique depuis peu de temps et qui m'aide de ses conseils. La barrière de la langue est partiellement levée par un traducteur (c'est pas encore au point ces traductions)...

Cette sympathique personne expose ses œuvres dans un musée, alimente un blog et réalise de petits films sur "Youtube".

Il est du Portugal, comme toi. Voici le lien vers son blog où tu trouveras de quoi t'extasier réellement:

https://modelisme-carrosses.blogspot.com/2017/01/

Noël étant maintenant passé, je peux enfin reprendre ma petite entreprise qui ne connaît pas la crise.

Ce matin, j’ai tout d’abord coupé les extrémités des double rais  en biseau.



Puis je les ai usinés sur ma petite toupie de table qui  s’avère être un instrument du diable dont les doigts des utilisateurs doivent se méfier au plus haut point. Régler le dispositif d’angle n’est pas un problème en soit et le curseur de hauteur d’outil facilite le réglage



Par contre après un premier essai, j’ai dû inventer un gabarit de guidage avec butée pour être certain de réaliser des usinages identiques.





Il est collé au double face afin de ne pas abîmer le secteur d’angle cependant je devrai revenir sur un gabarit avec une fixation plus stable.


Une fois les tenons ébauchés, un petit coup de papier de verre s’avère nécessaire. Ensuite il ne reste plus qu’à découper les tenons à la taille des mortaises des moyeux. Et …

Tadam !!!




Pour finir ma matinée, j’ai collé les différentes pièces constituant le gabarit de montage des rayons sur le moyeu.



Voici une présentation sommaire de son utilité.




Il me reste à fabriquer 24 petits coins afin de bloquer les rayons dans le bon angle lors de la prise de la colle.

Mais je vous en parlerai dans les jours qui viennent…

Bonsoir Michel ?
superbe ! bravo pour vos réalisations très ingénieuses pour reproduire à l'échelle ces chars de nos campagnes
Dans le respect des échelles et de tous les éléments ! c'est du très beau travail !!!
ça rappelle pleins de souvenirs d'enfance… je passais mes vacances en Auvergne dans un tout petit hameau où les fermes avaient leurs tombereaux  et autres chars à foins qui traversaient les générations… les tombereaux à fumier étaient… couleur fumier… et les chars à foins gris-bleu avec leurs hautes ridelles…
Bonne suite dans cette belle aventure de reproduction

Bonjour à tous,
Magnifique réalisation, qu'elle patience un grand bravo

 Qui va piano va sano...

C’est, je crois, ma dernière intervention de l’année, puisque la journée de demain sera consacrée à la préparation des réjouissances gustatives du  réveillon. En attendant cette excitation des papilles gustatives et pour éviter que la salive me vienne trop souvent aux lèvres, j’ai poursuivi l’avancement des travaux.

D’abord en coupant mes rais en 2, puis en fabriquant de petits coins de bois pour les caller au bon angle sur le gabarit de montage. J’ai ensuite pratiqué une mise en place à blanc. Force m’est de constater que certains assemblages ne sont pas pile poil et qu’un peu d’ajustage sera bénéfique à l’ensemble.






J’ai aussi découpé des triangles de bois à 60° afin de constituer la pièce de bois d’où seront tournées les jantes. Toutefois avant d’arriver à  cette phase finale, j’ai rainuré les côtés des triangles qui seront ainsi assemblés par rainure et languette, car je ne voudrais pas que tout se disloque sous la pression de l’outil.






Dès que j’aurai un moment de libre, je n’aurai plus qu’à coller les rayons sur les moyeux et les triangles entre eux… Mais je vous en parlerais mieux l’année prochaine.

Meilleurs vœux pour 2022 à  tous… et

Bonsoir,
on a l'impression que tes raies n'ont pas le même écartement / alignement ≠photo 2…
C'est une illusion d'optique ?
Tu as cassé pas mal d'élastiques ; pour les conserver, dans un bocal avec du talc, à l'abri de la lumière !
Bonnes agapes pour demain

Merci pour le truc de conservation des élastiques...

Les rais n'étaient pas collées juste mis en place pour la photo. Lors du collage je serai plus exigeant...

Voici la dernière vidéo d'un maître en la matière:

Joli le landau!!

Et sympa les avancées de tes roues, quasi comme en vrai!

Les agapes sont terminées et je peux enfin reprendre mes activités distractives. Malgré un emploi du temps chargé, j’ai réussi à  coller des rayons sur un moyeu et assembler les pièces multiples coupées à 60° destinées à  tourner les jantes.

Ce matin j’ai donc entrepris de fabriquer ces jantes, après un dégrossissage à la scie à ruban, puis un perçage au centre, les deux ensembles ont été monté dans le gabarit et tournés au diamètre extérieur de 140. De cette façon j’avais la certitude que les 2 roues seront à la même cote.




J’ai ensuite repris chaque pièce individuellement afin d’en usiner le profil et de découper la jante selon le diamètre intérieur de 120mm. S’il s’en trouve quelques 1/10ème d’écart entre les deux, cela ne se verra pas.




Lorsque j’ai coupé mes rais en 2 pour former les rayons, je me croyais malin d’avoir assuré le coup en les conservant de plus d’un cm  de trop. Hélas, lorsqu’il s’agit de les mettre à la bonne longueur sur la ponceuse à  disque de table, pas question d’en manger plus d’un mm sous peine d’arracher le joint de colle…. C’est ce qui m’est arrivé, la prochaine fois je veillerai à  être plus précis…




J’ai donc recollé 2 rayons et maintenant il faut que ça prenne, ce qui tombe diablement bien  puisque je dois démonter les décorations. Ces trucs, on les monte de plus en plus tard, on les démonte de plus en plus tôt, si ça continue comme ça, un jour on descendra le carton du grenier pour le regarder sans l’ouvrir…

Enfin, demain on verra si je tiens le bon bout.

Je tiens le bon bout !!!


Aujourd’hui, je vois le bout du tunnel qu’a représenté la construction d’une roue en bois qui ne tourne pas carré. Bien sur il y a encore quelques perfectionnements à apporter, comme par exemple, ne pas usiner les tenons à l’envers comme je l’ai fait sur quelques rais (ce qui m’a obligé à en usiner de nouveaux).

Ce matin, il me fallait raccourcir les rayons que j’avais coupés beaucoup trop grands. Ce n’est pas sans hésiter que je l’ai fait tant l’adage : « 3 fois coupés, 3 fois trop court » se vérifie régulièrement surtout quand on est fâché avec les chiffres comme moi.
Finalement je m’en suis sorti sans dommage et je ‘ai plus eu qu’à ajuster le diamètre, petit à petit, jusqu’à ce qu’il s’ajuste au rayon intérieur des jantes.

Et voilà comment j’ai réalisé 2 roues (presque de charron) qui tournent rond.



Puisqu’il me restait un peu de temps, j’en ai profité pour fabriquer l’essieu de la charrette irlandaise et monter les roues dessus.








La bonne nouvelle dans tout cela c'est que je peux enfin reprendre la fabrication de cette première charrette…


Mais ça ce sera pour demain qui, comme chacun sait est un autre jour…