Des Maquettes de véhicules hippomobiles anciens

Bonjour,
Comme je le racontais dans un autre poste, je me lance dans la réalisation de maquette de véhicule anciens, utilisés à l’époque où le moteur était un cheval (sans la vapeur, mais avec du crottin).
Tout un chacun a déjà  aperçu une de ces antiquité planté tristement au beau milieu d’un rond-point où il pourri consciencieusement jusqu’à  ce qu’il aille rejoindre ses prédécesseurs au rebut…
Des images de mon enfance remontent à la surface et j’aperçois encore le champ de foire plein de moutons, veaux, vaches, cochon et surtout les chevaux où dans ma Normandie natale, le Percheron se taillait la part du lion. Je vois encore en Bretagne au cours d’un séjour au centre Héliomarin de Trestel, ce paysan qui labourait son champ à l’aide, d’une paire de bœufs et force juron en breton bretonnant. Domicilié presque 10 ans à côté du haras du Pin, les Purs sangs, demi sang, trotteurs et autre Cob Normand faisaient parti de mon paysage lors de la promenade dominicale jusqu’à ce que nous émigrions dans l’est de la France. Déraciné dans cette Champagne pouilleuse où, pinèdes rasées et troupeaux de moutons déjà  disparu à  de rares exceptions, les champs céréaliers hivernaux d’après récolte ne montrent en surface que des cailloux blancs à perte de vue. Spectacle bien éloigné des vertes prairies ceintes de barrières blanches de mon enfance. Plus que de maigres troupeaux ça et là et quelques rares chevaux étiques à se mettre dans la rétine, mes souvenirs devenaient de plus en plus vagues, mais s’enjolivaient au-delà de la réalité.

C’est nourri de toute cette nostalgie qu’un jour ce catalogue a atterrit dans mes mains.






Hélas, nous n’étions pas encore à l’heure d’internet et de ses traducteurs (ni de la carte bleu) et le paiement (Franc/Livres) s’avérait aventureux pour un néophyte comme moi. Comme beaucoup de père de famille conscient de ses responsabilités, préférant gérer ma frustration que celle de mes enfants, je n’ai pas engagé un « copeck » dans ce qui n’était après tout qu’une envie parmi tant d’autres. Je n’avais pas non plus une grande expérience de bricolage, manquais d’outils, de matériel, de place et de temps. L’achat d’un plan aurait déclenché d’autres achats encore, m’entrainant dans une direction pas forcément supportable financièrement, la prudence a été de mise. De l’eau a coulé sous les ponts, mais, depuis cette époque, je feuilletais régulièrement ce petit fascicule avant de le refermer avec un soupir de regret.

Les années ont passé, les enfants se sont presque tous envolés hors du nid, et volent, vaille que vaille, du mieux de leurs possibilités. Le matériel à  évolué, les machines à disposition du bricoleur du dimanche aussi. Ce qui était quasiment impossible hier devient réalité quotidienne aujourd’hui. Dès ma mise en « vacances à perpétué » (ne riez pas, c’est grave puisque 100% des retraités meurent), j’ai entrepris, petit à petit de combler les vides que la vie m’avait laissé. Ainsi, j’ai acquis, entre autre, le Dictionnaire Agricole Larousse en 2 volumes qui avait enchanté mon enfance, jusqu’à ce que mon père, craignant une vocation qu’il n’approuvait pas, le jette à l’occasion d’un déménagement. Au fil du temps, d’autres envies fantasmées se sont vues comblées, toutes n’ayant pas pour autant apporté la satisfaction que j’en attendais, prouvant ainsi que tous les phantasmes n’ont pas vocation à être réalisé. Les manques se font rares… Mais il en reste un surtout, qui me tient à cœur.

Pour les charrettes, l’affaire suivait son cours, j’engrangeais régulièrement des infos et des documents. J’avais même commis, un été, une espèce de truc plus ou moins réaliste. Cette réalisation faisait apparaître que le vrai écueil à surmonter se trouvait dans la réalisation des roues. Faute de documentation technique utilisable, j’avais arrêté toute velléité d’entreprendre quoique ce soit dans cette direction. Jusqu’à  ce que, lors d’un grand rangement de printemps, redécouvrant ce fameux fascicule, le démon me reprenne. A partir de là, j’ai visité quelques Ecomusée de ma Région, pris un grand nombre de photos en me promettant de revenir pour dresser de véritable plans. Toutefois, comment obtenir des Conservateurs l’autorisation de dresser ces plans, sans avoir de références autre que sa bonne parole. Un « Press book » montrant ce que j’ai déjà réalisé me paraît un sésame autrement convainquant et m’éviterait de me mettre en avant pour me démettre devant la difficulté ensuite en donnant de moi l’image d’un beau parleur. Je revenais au point de départ, il me fallait construire quelques maquettes de qualité avant de m’aventurer plus avant dans la réalisation de ces modèles régionaux. Mais où trouver des plans, il y avait bien ce petit catalogue, mais il datait du début des années 70. Toutefois, une petite recherche « Googueulesque » m’a amené sur un site Britannique qui les vendait encore :

https://hobby.uk.com/horse-drawn-vehicles/books-by-john-thompson.html


Il y avait même des plans-méthode pour réaliser les roues en bois presque comme les charrons de l’époque que je me suis empressé d’acquérir. Les roues n’ont maintenant, en théorie, plus de secret de construction pour moi. J’ai aussi contacté un constructeur amateur sur ce site là :

www.scalemodelhorsedrawnvehicle.co.uk/index.htm

Nous somme en relation épistolaire (à l’aide d’un traducteur) et il a accepté de me mettre le pied à l’étrier. Nous allons entreprendre la fabrication de mon premier modèle dont il m’a fourni gracieusement le plan. Un tombereau léger Britannique: « South Cornish Tip Cart »  construit au début du XXème siècle. Instruit par l’expérience de mes maquettes précédente, j’ai choisi de le réaliser à l’échelle 1/8ème, car cette échelle permettra une exécution des détails plus aisée. Après, le problème viendra de la place disponible pour les ranger.

Parallèlement, le Père Noël m’a apporté un nombre assez conséquent de plans de tout sorte tant à l’échelle 1/8ème qu’au 1/12 ème. Ils sont destiné à me familiariser avec l’architecture des ces charrettes, à permettre l’élaboration de plans similaires mais régionalement distinct, ou en dernier ressort à être réalisé faute de mieux si le type de véhicule n’existe plus. Le choix était important, ma première envie étant de réaliser des véhicules de travail (des champs et des villes), ce sont donc ceux-ci que j’ai privilégié dans ma liste. Néanmoins, je n’ai pas toujours été suivi, ce, qu’avec le recul, je ne regrette pas.

Car après tout il n’y a pas que le travail dans la vie…

Bonjour,
Comme je vous l’avais dit précédemment, mon ami John m’a fait parvenir un plan d’un Chariot à benne basculante de Cornouailles du Sud «  The south Cornish tip cart ». C’est ce que l’on appelle chez nous un tombereau, sauf que celui-ci est de dimension plus modeste que ceux des grands champs céréaliers ou betteraviers des grandes plaines de France.



La première difficulté sera la construction des roues, qui  nécessitent la création d’outils spécifique et de différents montages qui  se feront petit à petit.

La deuxième vient du fait que ce plan n’est pas en système métrique et que, comme chacun qui s’y est frotté le sait, la conversion ne tombe pratiquement jamais juste. Seulement voilà, malgré de nombreuses recherches, je n’ai pas trouvé de plan de vieille charrette en système métrique. Avant d’être capable de réaliser mes propres plans, je dois faire avec ce qui  existe. Plus le travail sera précis, mieux se sera.

Mon « Press book » destiné à servir de sésame dans les Ecomusée est à  ce prix.


Après avoir lu et relu  ce plan afin  d’en déceler toutes les difficultés, j’ai décidé de construire ce chariot au 1/8 ème en commençant par son châssis qui est constitué des brancards et des différentes pièces qui les réunissent dont l’essieu afin qu’il puisse supporter la caisse qui sera fabriquée ensuite.

Pour cela j’ai écrit ma première feuille de débit nommée « Châssis ». Les pièces découpées à leur cotes de débit seront ensuite travaillées jusqu’à obtention identiques au modèle. Ce n’est qu’ensuite qu’elles seront assemblées à blanc. Puis je les peindrai avant l’assemblage définitif. J’hésite encore à les vernir, cependant, voilà  de quoi m’occuper un certain temps…

Salut
je prends un siège au 1er rang pour ne rien rater et éventuellement copier

Pas de soucis, bien au contraire… d'autant que nous sommes du même département… tu peux toujours m'envoyer un MP...

Salut Michmich et tous.....on va suivre aussi,moi j aime bien les vieilles charriottes

Salut koko 57,

Attends quand même que j'ai pondu  quelque chose avant de complimenter.

P/S: à ta liste de conseil tu peux ajouter: "On ne discute pas avec une brouette, on la pousse"...

je m’installe sur le canapé et je vais suivre ce montage qui va être très interressant

Connaissez-vous cet autre maquettiste :
http://maquettes-hippomobiles.over-blog.com/

Bonjour,
Bien sur que je connais sa belle production.

Je l'ai découverte ici:

http://www.attelage-patrimoine.com/


Mon but est différent puisque je voudrais copier les méthodes de construction des charron d'origine le plus possible afin que mes modèles incorporent toutes les menuiseries et fixations d'origine, bois ou métal . Ceci inclut la fabrication des roues presqu'à l'identique (je ne les cerclerai pas à chaud). Cela exclu donc l'usage du contre-plaqué et m'impose de réaliser ces véhicules à une échelle précise. J'ai choisi le 1/8 ème et me donne pour but d'utiliser tenons, mortaises, rainures et languettes, goujons, chevilles, boulons d'ancrage à écrous carrés et bien sûr les clous qui confèreront au modèle sa solidité. Mes principaux centres d'intérêts pour ce passe-temps sont les charrettes agricoles et charrettes de travail urbain. Après l'apprentissage nécessaire sur les plans des autres, je voudrais assez vite réaliser mes propres plans sur des modèles encore existant dans les Musées et Ecomusées….

C'est une divergence sans importance car il n'empêche que son travail de qualité mérite que l'on s'attarde à le contempler longuement. J'espère un jour lui arriver au moins à la cheville dans mon domaine…(si les petits cochons ne me mangent pas avant)...

Maintenant que j’ai numéroté et nommé les différentes pièces à fabriquer, il est plus facile d’écrire une feuille de débit. Comme pour de la menuiserie classique (toute proportion gardée, car nous sommes au 1/8ème ne l’oublions pas), au débit, chaque pièce est augmentée de quelques mm en largeur et épaisseur et de 1 à 2 cm  en longueur. J'ai fait l'effort de rechercher à nommer le plus de pièces possible avec leur nom d'usage des charrons. Voilà  ce que ça donne :



En fonction des bois dont je dispose, l’ossature du chariot sera en Noyer, alors que les diverses planches seront elle en Erable et Tilleul. Voici la première phase de débit.



Ensuite chaque pièce sera rabotée tant en largeur qu’en épaisseur. Puis coupée à longueur. Différents usinages tel que, perçage, toupillage, fraisages, ponçage lui seront appliqué. Enfin elle sera montée à blanc, ce qui  nécessitera la confection de ferrures et boulons. Mais le travail du métal sera une autre histoire.
En attendant, ce matin pas d’avance notable des travaux car j’ai fait un petit tour au « Li-deul » pour acquérir une petite ponceuse rotative de table qui me faisait encore défaut. Cela faisait longtemps que je lorgnais vers la « presque pareil comme celle-là » de chez « Proxxon », seul le prix de 180 euros me rebutait. Là j’ai acquis l’ersatz pour seulement 32, avec les même caractéristique à un poil près. La seule différence étant la durée d’emploi limité à 15 mn pour la « Parkside » et sans limite pour la « Proxxon ».



J'éviterai les grandes séries, mais les plus longues seront les rais des roues (12 rayons par roues, multiplié par 4 roues = 48)… à faire petit à petit, après tout ce sera moins rébarbatif...

Hier, j’ai entrepris de raboter chacune des pièces débitées. C’est un travail assez facile à  réaliser lorsque l’on  a comme moi, une petite raboteuse qui permet une précision au 1/10. Tout s’est bien déroulé et je dispose maintenant de mon petit lot de pièces de bois bien équarris et d’un petit tas de copeau de bois odorant.

Maintenant je vais pouvoir usiner ces pièces une à une avant de les mettre à longueur définitivement.

Demain je débute par la n° 1 : L’échantignole, qui comme son nom ne l’indique pas, intègre l’essieu dans une rainure. C’est un essieu complet qui  est représenté sur le plan du « South Cornish Tip Cart », Je n’aurai donc qu’une rainure à  usiner sur tout la longueur. L’essieu étant tiré d’une barre carré de 5x5 mm, la rainure devra être de 5 mm de largeur et de 4,5 mm de profondeur…
Puis je devrai fabriquer les pièces de fixation. Je n’ai pas de machine-outil permettant de réaliser le fraisage et le soudage miniature de l’acier. C’est donc vers du laiton et de l’alu que je vais me tourner. Je privilégierai le laiton à chaque fois qu’une soudure s’avèrera nécessaire. L’ensemble des pièces réalisées, à l’exception des pièces tournantes des roues seront, après usinage, peinte en noir. Dissimulant au mieux cet accro à la réalité…

Lorsqu’avant-hier, j’écrivais sur le réalisme que j’ambitionnais de réaliser, je n’avais pas d’exemple sous la main. Voici 2 photos d’exemples plus parlant.

D’abord une charrette à benne basculante utilisant le même système de basculement que celle que j’ambitionne de réaliser




Puis, le dessous d’un train avant fabriqué par mon ami John :




Je suis admiratif devant son travail en sachant que chacune des pièces constituant ce chariot a été fabriquée par lui...

La journée d’hier avait été consacrée à la fabrication de l’échantignole. Partant d’une pièce déjà  rabotée en largeur et épaisseur, il n’y avait plus qu’à  effectuer l’usinage de forme avant de mettre à longueur. Pour cette pièce, il fallait réaliser une saignée longitudinale destinée à  recevoir l’essieu.

Petite aparté en passant, le laiton arrive par la Poste dont la devise nouvelle semble être « qui va piano, va sano », bien heureux déjà  si le paquet tombe par hasard dans la bonne boîte, car dans mon quartier la distribution est plus qu’erratique à certaines périodes.

Foin de ces digressions, une fois la saignée effectuée, il ne restait plus qu’à couper à longueur et enjoliver l’ensemble. Et voici la première pièce du  chariot en attente de perçage qui ne s’effectuera que lorsque les pièces avec qui elle s’assemble seront disponibles.




Ensuite j’ai confectionné les 2 pièces ayant fonction de timon qui s’affinent vers leurs extrémités lorsqu’elles ont l’usage de brancards. La difficulté réside consiste à en faire deux parfaitement symétriques, du moins à l’œil…





Ensuite, j’ai confectionné un moule (mâle et femelle) pour cintrer l’extrémité des brancards. J’ai volontairement creusé l’empreinte des emplacements des serre-joints, afin qu’ils ne ripent pas lors du  serrage.




Puis après 1h30 de petit bouillon dans la cocotte minute j’ai mis en place et serré les deux pièces ensemble dans le dispositif. Une fois refroidies et sèches ces deux pièces seront parfaitement symétriques




Pendant ce temps, il y en a qui roupillent comme chien et chat




La suite au prochain épisode…

J’adore quand un plan se déroule comme prévu, c’est pourquoi, ce matin, j’étais un peu ronchon. Mes brancards si  délicatement cintrés se sont légèrement rouvert au démoulage. J’ai donc dû  refaire une empreinte davantage courbée, recuire le bois et remouler. Cet après midi, tout était rentré dans l’ordre.

Pendant la cuisson et le temps de séchage j’ai réalisé les deux sabots de rotation de l’Espar central (dit porte fond)





Puis celui qui tient le levier de basculement avec sa mortaise.





Voici une vue de toutes les pièces fabriquées cette semaine. Le châssis est pratiquement prêt à être assemblé, puisqu’il ne lui manque plus que les ferrures et boulons (avec des écrous à  tête carrée).




Demain je devrai attaquer l’ossature de la caisse. Mais demain est un autre jour…

je prends un siège et je suis.

Soit le bienvenue, mets toi avec les autres, y'a encore de la place au premier rang…

Salut Michmich et tous..........ben voilà,c'est partit ,t'es un " Proxxon adict toi "

Tout à fait addict. C'est une merveille que toutes ces petites machines qui fonctionnent comme des grandes avec une précision d'horlogers.

bonjour,

je suis bluffé par la précision nécessaire à tes réalisations.
nous sommes surement très nombreux à te suivre, sans oser intervenir de peur de te déconcentrer.

Et en plus ta prose est agréable à lire, ce qui ne gâte rien, bien au contraire !

amicalement,

Vincent

Merci beaucoup, cela me va droit au cœur, d'autant que ce n'est pas vraiment ce qu'en disaient mes profs tant au collège qu'au lycée. Il faut dire que les correcteurs orthographique me donnent la coup  de main qui me manquait à l'époque.

C’est donc aujourd’hui que débute la fabrication de l’ossature de la caisse du tombereau.
Il s’agit, cette fois ci, d’assembler par tenon et mortaise, les ranchers qui portent les ridelles sur les sommiers avant et arrière. Petit rappel, un sommier est un Epar (traverse latérale porte plancher) qui n’est pas solidaires des limons (solives longitudinales qui portent la caisse et se transforment en brancard à leur extrémité avant dans le cas de ce chariot)…
Il fallait donc creuser les mortaises et tailler les tenons comme cela….





Je vous aurais bien montré le montage avant mais, je viens de me rendre compte en rédigeant ce compte rendu que j’ai fait une monstrueuse erreur en le faisant identique à celui de l'arrière. Sur le plan, les ranchers du sommier avant et de l'Epar central sont inclinés non seulement vers l’extérieur, mais aussi vers l’avant ce que j’ai oublié de réaliser. Ces trois pièces sont donc à recommencer. Comme quoi avoir de bonnes machines c'est bien encore faut-il que l'homme aux commandes ne soit pas trop  tête en l'air…

Qu’importe, faire et défaire, c’est toujours travailler… Cependant j’aimerais bien ne pas poursuivre trop  souvent dans cette voie…

Bonsoir,
Je découvre ce sujet avec un grand plaisir. Les miniatures me passionnent et comme je vais sous peu me lancer dans la réalisation de voitures anciennes, je prends une place et je m'installe pour le plaisir des yeux et du cerveau.

Merci beaucoup, amicalement,
Manuela

Voici de beaux objets à réaliser et je sais qu'il faut beaucoup de patience, je vais suivre aussi.

Bonjour,

Vous faites une travail extraordinaire et je suis subjugué par la qualité et la recherche de détails.

J'attends que mon nouvel atelier soit terminé pour me lancer dans ce domaine. Car vous donnez envie mémé au novice comme moi.

Un grand bravo pour ce projet.

Cordialement

André

Bonjour,
Merci pour vos encouragements. Vous vous doutez bien que tout ne va pas toujours pour le mieux dans le meilleurs des mondes, d'où l'absence de photos ces deux derniers jours…
Mais ne vous inquiétez pas je suis bientôt de retour.

Pas de souci, on est bien installée ici, on peut patienter

Salut Michmich, je supposes que tu connais mais au cas ou :

https://www.youtube.com/user/EngelsCoachShop/videos

C'est pas la même echelle