[Fabrication] Des serviteurs en série

Bonjour à Tous,

Aujourd’hui, j’expérimente deux nouveautés :
> Le cintrage à la vapeur
et
> La fabrication en série d’un objet.

Dans les deux cas, Toutenbois aura été déclencheur.
Merci à Toi, Samuel.

Sur son fil traitant du cintrage vapeur j’ai laissé une image d’un serviteur (valet) qui sera le premier volet de la série.

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Je la re-poste ici.
Voilà pour l’objet à fabriquer.
Les demandes familiales m’ont fait envisager une série (petite.)

Maintenant, la vapeur…
Tout est dans le fil de Samuel. Je vais simplement montrer les différentes approches me concernant.

D’abord, la caisse est faite dans un mauvais contreplaqué de 18mm d’épaisseur.

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Je l’ai fabriquée « vite-fait » comme on dit n’étant pas sûr de poursuivre l’expérience. Si cela n’était pas assez solide, et que l’envie de continuer se manifestait, j’en reconstruirais une autre de meilleure facture. De toutes façons, le C.P n’était pas utilisable en état.
L’expérience va me montrer qu’elle est bien suffisante pour moi.

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La vapeur sera issue d’une classique cocotte SEB réformée, (ou plutôt en retraite anticipée c’set à dire, encore en état de marche mais moins flamboyante que les nouvelles) aboutée à un bout de tuyau d’arrosage et des joints toriques venus de systèmes d’arrosage.

La vapeur a besoin d’envelopper les quatre faces des pièces (6 en réalité, si on compte les bouts) pour une répartition homogène de la chaleur.
L’idéal serait la lévitation.
Cette option n’étant pas cochée, j’ai choisi de traverser la boîte de mortaises issues de la Domino et de me servir de dominos longs (impropres à l’usage pour cause d’attaque sordide) pour faire un plancher très ajouré aux pièces à traiter.
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J’ai utilisé la position maximale des dominos ; le domino, lui, est standard. Un échappement est ainsi créé.

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Une trappe partageant la boite va permettre de raccourcir le temps de chauffe lorsque les longueurs sont courtes.
D’un côté 1,50m, de l’autre 0,80m.
En tout, en enlevant la trappe 2,30m.
Ainsi elle est polyvalente. Merci Antoine pour cette idée.

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Ma boite à vapeur est efficace à l’usage et ne se déforme pas du tout.
Les conseils ont étés très bons. Merci.

Prochainement, je posterai les avancées,
A bientôt,
Renaud

Voilà qui promet !
Après les serviteurs, un deuxième fauteuil boule par un autre membre du forum pour Noël prochain ?

Bonjour à tous, bonjour Renaud
Le serviteur j'avais déjà dit sur l'autre fil tout le bien que j'en pensais et je réitère!
Ta boîte,pour du vite fait,est rudement bien conçue.
Maintenant ça va devenir une famille de la Haute avec tous ces serviteurs.
Amicalement
JeanPierre

Les objectifs :
Alors, pour ce serviteur, j’ai besoin de
> cintrer le porte-manteau,
> cintrer un peu les montants et
> fabriquer une espèce de U avec deux sections parallèles réunies par un arrondi de rayon serré.
> l’utilisation de queues d’arondes pour assembler le socle est un minimum.

<> Les Montants

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Les montants seront cintrés à la vapeur, puisque j’y suis.
Section 18x18mm.
Aucune difficulté. L’angulation est très faible, le frêne est coopératif.

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Le stockage est créé avec quelques triangles à angle droit.
Si on laisse les montants cintrés sans contrainte, ils ont tendance a « revenir » vers la ligne droite.
Cette solution permet de retirer les montants de la presse pour continuer les cintrages.
Ils "reviennent" moins. Je les ai laissé quelques jours ainsi.

<> Les cintres

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Le porte–manteau en lamellé-collé n’a pas été cintré à la vapeur. La courbure est minime et j’avais un bidon de colle polyuréthane à liquider.

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Par la suite, je vais faire un autre gabarit plus arrondi.
« Il est moins moderne mais les habits se placent mieux » qu’elles disent les femmes de la maison.

<> Le grand U

Le U avec ses longues jambes me donne plus de contrariété !
Principe :
Il s’agit de coller des lamelles de frêne de 3mm d’épaisseur en lamellé-collé.

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Le rayon de courbure désiré est de 60mm.
C’est assez serré, alors, l’étuvage est un bon moyen d'arriver a mes fins.

Le principe est donc de CINTRER SANS COLLER les lamelles sur le moule définitif.
Il est majeur d’utiliser toutes les lamelles ensemble, sinon les rayons de courbures ne permettent pas un bon assemblage.
Ensuite, on laisse sécher quelques jours et seulement ensuite, on colle les lamelles ensemble sur le même gabarit.

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Je copie effrontément le système de Samuel.

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Les erreurs de temps de chauffe et d’épaisseur des lamelles créent quelques échecs. (un seul en vérité)
Ici, les lamelles de 5 mm demandaient un temps de chauffe plus important.

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Feuillard vasavoirphil...
J’ai d’abord utilisé un feuillard inadapté de 25mm de large pour les essais en attendant un autre « de compétition » aimablement offert par un groupement de joyeux chtis qui fabriquent des établis en série. Merci à eux.

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Une fois ôtées du gabarit et sèches, les lames restent en forme et sont prêtes à être collées.

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Collage des lames.

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Une fois passées à la R/D et après un 1/4 de rond, l'aspect ressemble à ça.
Quoique la photo n'est pas très bonne (le capteur de mon 40D est en fin de vie)

Voilà pour le moment,
Amicalement à Tous,
Renaud

boiseux33 a écrit:Voilà qui promet !
Après les serviteurs, un deuxième fauteuil boule par un autre membre du forum pour Noël prochain ?

Hélas, hélas, je n'ai pas la poutre pour l'accrocher (°I=)

(°I=) aussi à Jean-Pierre.
Pour les serviteurs, ce n'est qu'un juste retour des choses... soupir


++ R

C'est cool de voir d'autre s'y mettre et pour un beau résultat!

Je serait curieux que tu essaye de cintrer le U en une seul pièce.

Petite question avec ta cocote tu tien combien de temps, et quelle température as tu dans l'étuve?

Salut Samuel,

J'ai essayé de cintrer un tasseau de 20x20mm.
Le rayon obtenu était loin des impératifs de ce valet.
Je n'avais sans doute pas chauffé assez ni assez longtemps.

Et comme je n'ai pas de thermomètre me permettant les mesures internes, je suis chocolat.
Je suis allé voir sur le net les modèles en vente mais devant les écarts de prix, j'ai laissé courir en me disant "qu'on verrait bien plus tard".

Par contre, avec ma cocotte de 10 litres, je peux voir venir.
Faut dire que lors de la première chauffe, j'ai été alerté par l'odeur du fer chauffé à blanc.
J'ai eu droit à de très gros yeux (OIO)

Depuis, je charge au moins 6 litres d'eau chaude et alors je peux vaquer tranquillement à d'autres occupations.
Il faut savoir que mon atelier est au sous-sol et que la vapeur se passe au garage.

++ Renaud

Voir venir c'est quoi? 3h? moi j'avais un minuteur toutes les 25min et comme je faisait des journées complète de cintrage c'était lourd de couper la pose repas ou tout autres poses d'ailleurs....

Zioup,
Je prends un ticket.

@+ Pegvi

Ave

Un ticket et une cocotte pour moi aussi

Phil

toutenbois a écrit:Voir venir c'est quoi? 3h? moi j'avais un minuteur toutes les 25min et comme je faisait des journées complète de cintrage c'était lourd de couper la pose repas ou tout autres poses d'ailleurs....

Oh, largement trois heures !!!
Je dirais plutôt 4h.

Je me donne une heure de chauffe pour les petites sections de 3mm, je les travaille et ensuite, je sors les 18x18mm pour les mettre en forme. Soit 2h en tout, maxi, pour un ensemble de languette et de tasseaux.

Par contre mon frêne est très sec (30 ans environ de sèche à l'air libre) et je n'ai pas suivi le conseil de Vincent qui dit de faire tremper le bois 24h durant.

++ Renaud

sinon mon thermomètre c'est ça!

https://www.meilleurduchef.com/cgi/mdc/l/fr/boutique/produits/ino-thermometre_cuisson_et_four_a_sonde_amovible.html

il est surtout parfait pour les macarons...

Je vais envoyer mon épouse scruter les rayons du supermarché dès demain,

++
Renaud

Et bien moi aussi je m installe et j en prend plein les mirettes !! Bon boulot Renaud !

Plein les mirettes... comme moi quand je vois tes tournages, Joël !

Bonsoir à Tous,

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Avant de passer à la suite, je veux montrer un exemple de U impossible à faire autrement qu’en lamellé-collé.
On voit un nœud en plein virage. Il s’est très bien négocié. Une plus grosse épaisseur lui aurait été fatale.
Le feuillard a aussi son importance. Placé à l'extérieur de la courbe, il empêche les fibres d'éclater.

<> Les socles

Les U étant presque fabriqués, (il en reste deux à faire) je passe à la base : les socles.

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Ici, celui du modèle d’essai. Il a déjà les renforts d’équerrage installés (présentés.)

Le socle est un assemblage à queues d’aronde de 5 traverses horizontales sur 2 verticales. Quand je dis verticales et horizontales, vous me suivez, hein ?
En fait, le socle est destiné à être posé par terre  alors, toutes les traverses sont horizontales.
…
Bon, faut trouver autre chose…
On va dire que certaines traverses reçoivent des queues femelles et les autres des queues mâles.

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Queues femelles

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Présentation qui valide les proportions.

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Queues mâles,

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Queues à blanc,

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Queues collées avec les moyens traditionnels,

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Ce qui nous donne un empilage de queues socles.

Maintenant, il va falloir coller toutes ces traverses. Les mâles avec les femelles.
Ah ben oui, ah bien sûr… Ca vient toujours du fond de la classe ce genre de onomatopées !
Les réflexions graveleuses sont bannies sur ce fil (du rasoir), savez-vous !

Je regarde mes serre-joints occupés à finir de fabriquer et coller les U restant à faire. Je n’en n’ai pas assez…

Et, là… Invocation !
« toutenbois es-tu là ?   Si tu es là, sauve moi… »
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Il était là, dans Le Bouvet à bidouiller des bouts de bois qu’il collait verticalement.
… verticalement, ça vous parle ?
Un éclair de (génie) gros copieur me traverse le crâne un peu fatigué.

Mais oui, j’entends ce diable de Toutenbois me dit « fais donc une presse verticale, tu n’as pas d’excuses Renaud, tu peux la faire »

Et je l’ai faite…

Son look, venu d’ailleurs, est simplement du à son détournement !
C’est un toit de « cage à poule » autrement dit un toit de cage de pouliethérapie.
Un truc barbare utilisé avant guerre par les masseurs, masseurs de bains, cinésithérapeutes puis par les kinésithérapeutes. (un peu d’histoire au passage)
Ce truc m’a été vendu lors de ma première installation par un vendeur compétent qui m’a fait croire que je pourrais m’en servir. C’était un leurre !
La cage grillagée a été démantelée et, seuls, deux « murs » servent maintenant à accrocher des cales et une réplique de squelette en plastique qui a un but éducatif.

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Au début, je n’ai pas pensé à photographier, tout occupé à la découverte, alors ce cliché est un peu postérieur mais pour la compréhension, il est préférable de la situer à ce moment.

Le cadre est bien aux dimensions de l’atelier.
2,00m de haut,
1,20m de large.  (0,50m sans grillage, 0,60m avec)
Bien sûr, la partie grillagée peut être un désavantage mais aussi un atout. Les pièces ne tombent pas en arrière… à voir à l’usage !?
Me reste à faire des trous presque tous les 10cm. Je dis presque parce qu’il y a des trous existants et qu’ils ne sont pas équidistants.
L’important est qu’ils soient horizontalement à même hauteur. Oui, bref…
On leur adjoindra des montants en bois pour plaquer les pièces sur les montants métalliques.


Sur l’établi

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Les trous devront être traversant. Les tubes sont creux.

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Trous alignés

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J’ai des tiges filetées de Ø8. Elles feront office de gougeons.
Elles seront équipées d’un écrou Nilstop d’un côté. Un lien choisi au hasard http://www.foussierquincaillerie.fr/quincaillerie/consommables/visserie---fixation/visserie-inox/ecrous/ecrou-frein-inox-a2-5-2848.xhtml

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Une tige sortie

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Les montants bois (contreplaqué collé 2x19mm) sont percés par l’arrière en utilisant les trous déjà faits dans le cadre métallique.

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Montants en place.
Les traverses sont en CP.
Elles ne doivent pas être trop épaisses pour pouvoir serrer correctement les montants sur la pièce.

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Montants détails
On voit un socle simplement posé et serré par les deux cales triangulaires.

Avant de coller, il est bon de calibrer et de poncer l’ensemble des traverses.
Les plus attentifs ont aperçu un petit tas de traverses sur le fil de ma calibreuse. On peut les voir, ici.
Ca prend du temps avec la machine, mais sans elle je vous laisse imaginer.

A bientôt la suite...

Bonne lecture,
Amicalement,
Renaud

bonsoir ,

une bien belle aventure finalement ces serviteurs !
tout d'abord ton model est tres bien ,puis te voila desormais equipé d'une étuve et presse murale ...

ton résultat est plutot flatteur !!!
ton audace est donc récompensée. je dis audace car je trouve que le cintrage vapeur nécessite un peu de temps de confection mais les possibilités sont tellement nombreuses...
merci pour le partage et la motivation,avec Samuel, à se fabriquer une étuve.

a plus

Salut Thomas,

Oh, l'audace, c'est Samuel qui l'a eue en mettant en avant une technique ancienne.
Il a su transmettre son enthousiasme.

Moi, je n'ai fait que suivre ses pas à pas sans apporter de nouveautés.
J'ai simplement ordonnancé différemment ses créations.

Je suis heureux que le design de mon serviteur ne fasse pas trop ringard.
C'était ma principale crainte.

++
Renaud

Bonsoir Renaud

tu écris que les tubes sont creux ! le sont-il des deux bouts !
si tu utilise des écrous frein en inox fais gaffe, ça grippe bien , je me suis fais baguer plus d'une fois avec ces drouilles que ce soit en Ø 4 mm comme
en Ø 12 mm , une lichette de gras évite des déboires

concernant les coins de serrage, quand tu vas les décoincer, tu vas taper dessus , tu ne crains pas d'esquinter l'angle , un léger plat n'aurais pas été
le bien venu ?

ton système, m'a fait naître une idée, j'ai un vieux sommier , je crois savoir en quoi je vais le recycler

à + Lulu

Pas con du tous ces conseils !!!

Des coins pas pointus, mais bon Dieu, mais ça bien sûr !
Et un coup d'huile... ça tombe bien, j'en ai.
Merci Luc,

Voyons voir ce sommier transformé à la mode Lulu.

Amicalement,
Renaud

Bonjour,

Renaud,tu utilises deux coins mais tu devrais en utiliser quatre;deux sous chaque vis,tête- bêches,de façon à pouvoir les serrer avec des serres joints.Ton serrage sera plus précis et tu abimeras moins les coins.

+1 concernant le méplat sur ces coins.

A+

Bonjour

Renaud nul besoin de te dire que cela me plais bien...

sur cette image on vois bien que le grillage maintien ton cadre moins large que l'espace entre les montant. Quand cela m'arrive je suis obligé de glisser des bois derrière pour créer un appuie.



Je pense de plus en plus à créer un panneau avec un réseau de trou ajouter sur l'une des face de la presse pour m'en servir de cadreuse

Bonne idée aussi, Martial.
C'est dans la boîte à neurones.

Samuel,
On peut aussi mettre un plat cloué à l'arrière des traverses (comme une feuillure)

Bonjour Renaud

Alors la bravo, se lancer dans le cintrage à la vapeur quand on en a jamais fait chapeau bas
bon tu avait un bon guide en la personne de samuel mais faut se lancer quand meme
j'adore la cocotte minute pour la vapeur
du bon boulot et en plus tu nous fait une presse verticale avec de la récup
comme j'aime
que du bonheur de suivre ton fil, comme quoi rien n'est inaccessible quand on veut

Bonjour tout le monde
Bonjour Renaud

6°sens a écrit:
Maintenant, la vapeur…
Tout est dans le fil de Samuel.... Renaud

J'ai cherché (mal sans doute) et je n'ai pas trouvé ce fil de Samuel
Si quelqu'un veut bien me le donner je l'en remercie d'avance infiniment !  

Jacques

Bonjour à tous,
Jacques je crois que tu trouveras ton bonheur ICI
Amicalement
JeanPierre